L’année dernière, l’entreprise Béthesda a décrit l’esthétique de Starfield comme NASA-Punk. Les développeurs ont proposé ce terme pour décrire un univers de science-fiction plus terre-à-terre et plus réaliste. Le jeu combine l’aspect pratique de la véritable technologie spatiale avec l’esthétique de la culture punk.
L’Agence spatiale européenne a apprécié l’approche de l’entreprise. Selon Emmett Fletcher, responsable de la marque et des partenariats à l’ESA, l’esthétique NASA-punk de Starfield « humanise » le jeu.
Comme l’a noté Fletcher, c’est essentiellement l’esthétique d’une technique qui est aimée et utilisée. Après tout, s’il continue à fonctionner, il n’est pas nécessaire de le changer. Et ce type parle avant tout de fiabilité.